Les problèmes gérés  par l’hypnose ?

L’hypnose à un champ d’action vaste et étendu à tous problèmes liés à la psyché et donc aux émotions.

La démocratisation de l’hypnose et les avancées scientifiques et médicales sur le sujet augmentent considérablement le périmètre d’application.

L’hypnose permet de :

  • se libérer : du tabac, du poids, du stress, des peurs, des addictions, des anxiétés, des traumatismes, des insomnies, deuil, rupture, douleurs…
  • se retrouver : silhouette, bien-être, équilibre, sérénité, confiance, prise de recul, estime de soi, joie de vivre…
  • se dépasser : concentration, examens, performances, nouveau projet, timidité, mémoire…
  • Et tant d’autres choses encore….

Tous hypnotisable ?

Oui il s’agit juste d’une question de lâcher prise. L’hypnose est un état physiologique. Le thérapeute est un guide que l’on accepte ou non de suivre. Nous avons tous vécu l’expérience d’être mentalement coupé du monde quelques instants, de voir notre esprit vagabonder avant de revenir dans la réalité.

Nous traversons tous cet état hypnotique chaque jour toutes les 90 mn. Ces transes sont liées au cycle ultradien qui rythme par ailleurs d’autres paramètres physiologiques. Durant ces phases, certaines parties de notre cerveau se mettent au repos tandis que d’autres sont en activité permettant ainsi un fonctionnement différent nécessaire à l’organisation mentale des informations et des expériences vécues.

Est-on sous contrôle ?

L’un des principes de l’hypnose moderne est basé sur le volontariat du client.
En effet, toute personne ne voulant pas être hypnotisée ne pourra pas l’être. Je m’entends, le cerveau de toute personne agit comme s’il existait une protection de son intégrité physique et mentale qui n’aboutira pas à un état de transe si la personne ne le veut pas. C’est notre conscience le moteur de notre cerveau.
On n’est pas prisonnier quand on est en état hypnotique, il faut savoir qu’à tout moment on peut sortir de cet état d’hypnose sans que le thérapeute le demande. On ne perd pas son libre arbitre ou sa liberté, on garde le contrôle sur ce qui se passe.
L’hypnose Ericksonnienne est non directive, c’est à dire que rien n’est imposé, donc vous agirez en pleine conscience.
En état hypnotique on ne dort pas, on est en état modifié de conscience, mais tourné vers l’intérieur de soi, et de ses sensations, ses ressentis. Sous hypnose on parle de se réveiller même si on ne dort pas, Si au cours d’une séance, votre praticien arrête de vous parler, au bout d’un moment passé sans suggestion, vous sortirez spontanément de cet état. Parfois un état hypnotique très agréable peut donner envie à la personne d’y rester pour profiter d’avantage et la sortie de transe prend alors un peu plus de temps. Votre Hypno Praticienne est là pour vous aider à revenir en forme, et à la date du jour.

Combien de séances ?

Comme chaque personne est unique, cela varie en fonction de votre motivation et de l’objectif à atteindre.
L’hypnose fait partie des thérapies brèves, en ce sens, le nombre de séances peut varier suivant vos besoins en rapport avec votre problématique mais comme l’hypnose est un outil de changement efficace, parfois peu de séance sont nécessaires.

Dans la plupart des cas il faut à 2 à 5 séances pour obtenir les résultats escomptés, certaines problématiques prises en charge, nécessitent des séances de suivi périodiques. Dans des cas plus profonds, ou plusieurs problématiques s’ajoutent, la thérapie est bien-sur plus longue.
Et même lorsque des résultats positifs sont notés dès la première séance, il est conseillé d’en réaliser une seconde pour renforcer le travail initialement entrepris, afin d’assimiler complètement son évolution et permettre son efficacité.

Des contre indications ?

L’hypnose ne se substitue à aucun avis ni traitement médical. Les traitements en cours ne peuvent et ne doivent être suspendus que sur recommandations expresse du corps médical, même si une amélioration conséquente est intervenue.
Les troubles graves de la personnalité comme les psychoses, paranoïas et la schizophrénie sont une contre-indication absolue.
De même que les perversions graves, hallucinations et idées délirantes, les états « borderline » relèvent du domaine de la psychiatrie et ne peuvent, en aucun cas, être traités par l’hypnose.
Les personnes qui sont en état de dépendance ne pourront être entretenues qu’après sevrage de quelques jours.